Eve Leung
Business Development Researcher
McMillan LLP
Tell us a little about your educational background and how you entered the legal information industry.
I completed my undergraduate studies at Carleton University where I majored in law and minored in psychology. In my last year at Carleton, my legal research professor suggested I look into getting my library degree. I really loved the idea of having an end result that combined my undergraduate studies with a specialty. I completed my Master of Information Studies degree at the University of Toronto’s Faculty of Information with the ultimate goal of becoming a legal researcher.
How has being involved in CALL helped you professionally?
I became involved with CALL early on as a member, a mentee and a book review contributor. In 2011, I joined the Webinar Committee and am currently the Chair of that committee. I’m also the advertising editor for the Canadian Law Library Review as well as a member of the External Partners Committee. CALL is a great network in which to be connected. I’ve crossed paths with many people I may otherwise not have had the opportunity to work with and learn from. Chairing a Committee and working on projects has allowed me to build on my management and organizational skills.
Where do you see our industry and/or profession in 10 years?
In my opinion, the industry and profession have always been reacting to and planning for changes. As the legal industry undergoes large changes in Canada, we have opportunities to fill in the gaps and develop new areas of service while losing some too. There will be challenges in determining where we should focus our efforts in providing the most value-added services to our clients. To cope with doing more with less, we will have to build strong relationships with other departments in our organizations to strategically leverage our resources. We’ll also be facing greater competition with more outsourcing options, other professionals expanding their expertise, and even our own clients.
What’s your greatest professional success?
I’m not sure I have one yet!
What is one thing people would be surprised to know about you?
I’m a bit shy.
Parlez-nous un peu de vos antécédents scolaires et de la manière dont vous vous êtes intégrée au secteur de l’information juridique.
J’ai fait mes études de premier cycle à l’Université Carleton, avec une majeure en droit et une mineure en psychologie. Pendant ma dernière année à Carleton, mon professeur de recherche juridique m’a suggéré d’envisager d’obtenir un diplôme de bibliothéconomie. J’aimais vraiment l’idée d’atteindre un résultat final qui alliait mes études de premier cycle et une spécialité. J’ai obtenu une maîtrise en sciences de l’information à la faculté de l’information de l’Université de Toronto, dans l’optique de devenir recherchiste juridique.
En quoi votre adhésion à l’ACBD/CALL vous a-t-elle été utile sur le plan professionnel?
Je me suis impliquée rapidement auprès de l’ACBD/CALL en tant que membre, mentorée et collaboratrice pour les comptes rendus de livres. En 2011, je me suis jointe au comité des webinaires, dont je suis actuellement la présidente. Je suis également chef de la rédaction publicitaire de la Revue canadienne des bibliothèques de droit et membre du comité des partenaires externes. L’ACBD/CALL est un excellent réseau auquel nous pouvons nous joindre. J’ai rencontré de nombreuses personnes avec qui je n’aurais peut-être pas eu l’occasion de travailler et auprès desquelles je n’aurais pas pu apprendre autrement. Le fait de présider un comité et de collaborer à des projets m’a permis de développer mes compétences en matière de gestion et d’organisation.
Où voyez-vous notre industrie ou notre profession dans dix ans?
À mon avis, l’industrie et la profession ont toujours réagi aux changements et planifié en fonction de ceux-ci. Comme l’industrie juridique subit des changements importants au Canada, nous avons la possibilité de combler les lacunes et de développer de nouveaux secteurs de services, tout en en perdant quelques-uns. Nous devrons relever certains défis pour déterminer les secteurs dans lesquels nous devrions concentrer nos efforts en offrant les services représentant la plus grande valeur ajoutée à nos clients. Pour réussir à « faire plus avec moins », nous devrons établir des relations plus solides avec d’autres services au sein de nos organisations afin d’exploiter nos ressources d’une manière stratégique. En outre, nous ferons face à une concurrence plus forte et, notamment, les options de sous-traitance seront plus nombreuses et d’autres professionnels accroîtront leur expertise, même nos propres clients.
Quelle est votre plus grande réussite professionnelle?
Je ne suis pas sûre d’avoir atteint la réussite professionnelle!
Quelle est la chose que les gens seraient étonnés d’apprendre à votre sujet?
Je suis un peu timide.