Five Questions with Wendy Reynolds

15 Jan 2016 5:53 PM | Deleted user

Wendy Reynolds
Manager, Accessibility, Information Services Branch
Legislative Assembly of Ontario

Tell us a little about your educational background and how you entered the legal information industry.

I have an undergraduate degree in Administrative Studies from Trent and a MLIS from Western. I frequently say that Western got me the job, but Trent gave me the interest in public policy and law. At one point, I’d considered becoming a lawyer but decided that I was more interested in the research and problem-solving than I was in drafting or deal-making. I have to confess that my getting into law librarianship was somewhat less planned than the previous sentence would make it appear. I’d been working as a cataloguer for Statistics Canada when a position at the Federal Court of Canada became available. I managed to make the case that “if you can put stuff into a collection, you can get it out” and that two years managing a sports bar in the east end of Ottawa would qualify me to serve the judges of the Court and got the job.

How has being involved in CALL helped you professionally?

Aside from being a great way to add to your subject-matter expertise through conference sessions, webinars, and the CLLR, taking an active role in the life of the Association is the smartest thing a young professional can do to help develop their career. After all, if you can convince a committee of volunteers to follow your leadership, how much easier will it be to supervise or manage a team who relies on you for a good performance review at the end of the year? For many young professionals, participating in CALL committees or on the Executive Board allows them to experience (perhaps for the first time) hands-on management, governance, strategic planning, and leadership. The best evidence I can offer of the value of this type of activity is that when my appointment to the staff of the Ontario Legislative Library was announced, my activities with professional associations were featured prominently in the write-up.

Besides, communities like this are just more fun when you participate! I’ve now got a national network of friends that I get to see every year at conference – people  who can relate to my work, are willing to share what they know, and who push me to keep learning and developing.

What’s one change in the profession or industry that has been a challenge for you?

One thing I’ve noticed in the last couple of libraries I’ve worked in is the decline of foot traffic. I know why it’s happening – it’s a lot more efficient to e-mail or text message your request, but I think that it’s become much harder to develop that bond between the library staff and the clients who come in. Students, in particular, need a place where they can feel that there are “no dumb questions”, and the library can be such a safe haven for them.

On the other hand, smart librarians are getting out from behind their desks and actively inserting themselves into the business of their organizations! What an opportunity to really get to know how the widgets are made, and to be able to add value at every turn – not just when corporate memory fails and someone needs something researched.  

What’s one blog, website, or Twitter account that you can’t go one day without checking?

www.webaim.org – I’m currently responsible for helping the Assembly achieve compliance with the Accessibility for Ontarians with Disabilities Act  (AODA), and this website is not only a great source of best practices and educational pieces, but it also hosts WAVE, an accessibility testing tool for web content.

Who is your favourite library professional—living or dead, real or fictional?

I suppose that Bunny Watson (from the movie Desk Set) is the trite answer, but I have to say that I’ve been greatly influenced by Shaunna Mireau. Shaunna is utterly fearless, and will take on any challenge presented to her. She is smart, smart, smart, and looks for opportunities to add to what she knows. I also admire her attention to detail, which is not something I possess. And she’s fun – as evidenced by the fact that she is a founding member of the CALL Ukulele Summit.

Parlez-nous un peu de vos antécédents scolaires et de la manière dont vous vous êtes intégrée au secteur de l’information juridique.

Je suis titulaire d’un diplôme de premier cycle en études administratives de Trent et d’une MBSI de Western. Je dis souvent que Western m’a permis d’obtenir un emploi, mais que Trent a suscité chez moi un intérêt pour la politique publique et le droit. J’ai un moment envisagé de devenir avocate, mais j’ai décidé que la recherche et la résolution de problèmes m’intéressaient davantage que la rédaction ou la conclusion d’ententes. Je dois avouer que mon orientation vers la bibliothéconomie juridique était un peu moins planifiée que la phrase précédente ne le laisserait croire. Je travaillais comme catalographe à Statistique Canada lorsqu’un poste est devenu vacant à la Cour fédérale du Canada. J’ai réussi à faire valoir que « si on peut mettre des choses dans une collection, on peut les en retirer », et qu’après avoir géré pendant deux ans un bar sportif dans l’est d’Ottawa j’étais qualifiée pour servir les juges de la Cour; j’ai obtenu le poste.

En quoi votre adhésion à l’ACBD/CALL vous a-t-elle été utile sur le plan professionnel?

Outre le fait qu’il s’agit d’une excellente façon d’accroître son expertise grâce à des séances de congrès, à des webinaires et à la RCBD, jouer un rôle actif auprès de l’Association est le moyen le plus intelligent qu’un jeune professionnel puisse utiliser pour faire avancer sa carrière. Après tout, si vous pouvez convaincre un comité de bénévoles de suivre vos directives, ne sera-t-il pas beaucoup plus facile de superviser ou de gérer une équipe qui dépend de vous pour obtenir une bonne évaluation de son rendement à la fin de l’année? Pour nombre de jeunes professionnels, l’adhésion aux comités ou au conseil de direction de l’ACBD/CALL leur permet d’acquérir une expérience pratique (pour la première fois peut‑être) en matière de gestion, de gouvernance, de planification stratégique et de leadership. La meilleure preuve que je puisse offrir en ce qui concerne la valeur de ce type d’activités est la suivante : lorsqu’on a annoncé ma nomination au sein du personnel de la Bibliothèque de l’Assemblée législative de l’Ontario, mes activités auprès d’associations professionnelles ont été mises en évidence dans le communiqué.

En outre, les communautés de ce type sont beaucoup plus amusantes lorsque vous participez à leurs activités! Je possède maintenant un réseau national d’amis que je rencontre chaque année au congrès, des personnes qui peuvent s’identifier à mon travail, qui sont disposées à partager leurs connaissances et qui m’encouragent à continuer d’apprendre et d’évoluer.

Y a-t-il un changement relatif à la profession ou à l’industrie qui a présenté un défi pour vous?

Dans les dernières bibliothèques où j’ai travaillé, j’ai remarqué la baisse de la clientèle en personne. Je sais pourquoi cette clientèle diminue; il est beaucoup plus efficace de transmettre sa demande par courriel ou par message texte, mais je crois qu’il est devenu beaucoup plus difficile, pour le personnel des bibliothèques, d’établir un lien avec les clients qui se présentent. Les étudiants, en particulier, ont besoin d’un endroit où ils ont le sentiment qu’il n’y a « pas de questions idiots », et la bibliothèque peut être un refuge sûr pour eux.

En revanche, les bibliothécaires judicieux quittent leur bureau et s’intègrent concrètement aux activités de leur organisation! Quelle occasion de vraiment apprendre les trucs, et de pouvoir ajouter de la valeur à chaque tournant, et pas seulement lorsque la mémoire organisationnelle est défaillante et qu’une personne a besoin d’une recherche.  

Y a-t-il un blogue, un site Web ou un compte Twitter que vous ne pouvez pas négliger de consulter tous les jours?

www.webaim.org – Je suis actuellement chargée d’aider l’Assemblée à se conformer à la Loi sur l’accessibilité pour les personnes handicapées de l’Ontario (LAPHO), et non seulement ce site est-il une excellente source d’information sur les pratiques exemplaires et les documents éducatifs, mais il comporte également WAVE, un outil de vérification de l’accessibilité du contenu Web.

Qui est votre professionnel de la bibliothéconomie favori, vivant ou décédé, réel ou fictif?

Je suppose que Bunny Watson (du film Une femme de tête) est la réponse évidente; toutefois, je dois avouer que j’ai été très influencée par Shaunna Mireau. Shaunna n’a tout simplement peur de rien; elle s’attaque à tous les défis qui lui sont proposés. Elle est intelligente, intelligente, intelligente, et elle recherche les possibilités d’accroître ses connaissances. J’admire également son souci du détail, qui me fait défaut. En outre, elle sait s’amuser; en effet, elle est membre fondatrice du sommet du ukulélé de l’ACBD/CALL.

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