Jennifer Walker Head Librarian, County of Carleton Law Association
Tell us a little about your educational background and how you entered the legal information industry. I entered the legal information profession directly out of grad school, which I completed at Dalhousie’s School of Information Management. In my last semester, there was a course on legal librarianship taught by the then-Head of the Law Library, Ann Morrison. I thought she was just wonderful, and she made legal librarianship sound like a pretty great job! I definitely liked the research element and had already been more interested in special libraries. I am very fortunate that an entry-level reference librarian and cataloguing job opened up at my organization just as I was graduating. I’ve been happy to be here, and to take on increased responsibility, for over 7 years now. Prior to all that, I did my undergraduate degree in history (I really do love research), as well as a Bachelor of Education with an emphasis in teaching high school students. While high school can be a lot of fun, I am very happy I made the decision to pursue librarianship instead.
How has being involved in CALL helped you professionally? CALL has been incredibly beneficial to me as a librarian. Starting in law libraries directly out of school, there was a lot to learn and a whole new world of colleagues to meet. I very quickly became involved with CALL and have learned so much from the educational opportunities I’ve had at the conferences, through my NELI grant in 2010, and from truly welcoming, kind, and smart colleagues. This is a profession where having someone to contact for help or to bounce ideas off of is of immense benefit, and CALL has enabled me to make those connections and build a solid network of other legal information professionals.
What are three things on your bucket list?
I absolutely love to travel, so my mind immediately goes to the places I’d like to visit and things to see & do there. I would love to visit Oxford, England and see both the city and the University. You can only watch so many hours of Inspector Morse without actually going there, and I believe I’m at my limit! I would also love to visit Istanbul. There is so much that would be wonderful to take in there, such as the Grand Bazaar, and visiting Hagia Sofia and the Blue Mosque. Closer to home, I would absolutely love to visit Vancouver, and experience that West coast culture we hear so much about in Ontario. It seems like I might be getting my wish on that for CALL 2016!
What’s one change in the profession or industry you’ve embraced?
I don’t believe it’s so much a change in the industry but certainly in my role and my organization, and that is an increased responsibility for providing legal research instruction. I come from an education background, but I never thought I would draw on that skill set as much as I have in the last three years of being a librarian. It’s exciting for me to lead training sessions, and I think providing these sessions to our clients presents real value for our library and demonstrates what we can do beyond simply being there to answer questions.
What was your first job or your first library-related job?
My first library-related jobs were all student jobs in various archives or records departments. My first actual job, however, was when I was 15, at a movie theatre. That job taught me an incredible amount about customer service and really formed my ethic for working with clients which I still believe in today. Fortunately, my job doesn’t currently involve standing in front of a cinema full of people asking them to turn off their pagers and phones, though that perhaps foreshadowed the more “Shhh!” side of librarianship!
Parlez-nous un peu de vos antécédents scolaires et de la manière dont vous vous êtes intégrée au secteur de l’information juridique. Je suis entrée dans la profession de l’information juridique dès la fin de mes études supérieures, que j’ai effectuées à l’École de gestion de l’information de Dalhousie. Pendant mon dernier semestre, on offrait un cours de bibliothéconomie juridique qui était enseigné par la directrice de la bibliothèque de droit de l’époque, Ann Morrison. Je la trouvais absolument fantastique, car elle nous présentait la bibliothéconomie juridique comme un travail très intéressant! J’aimais résolument l’élément de recherche, et je m’étais déjà intéressée davantage aux bibliothèques spécialisées. J’ai eu beaucoup de chance, puisqu’un poste de bibliothécaire de référence et de catalogage de premier échelon s’est ouvert au sein de mon organisation à la fin de mes études. Je suis très heureuse ici depuis plus de sept ans maintenant, et je suis ravie d’assumer des responsabilités accrues. Auparavant, j’ai effectué des études de premier cycle en histoire (j’aime vraiment la recherche), et j’ai obtenu un baccalauréat en éducation, avec un intérêt particulier pour l’enseignement auprès des élèves du secondaire. Bien que l’enseignement au secondaire puisse être très agréable, je suis très heureuse d’avoir pris la décision de me diriger plutôt vers la bibliothéconomie.
En quoi votre adhésion à l’ACBD/CALL vous a-t-elle été utile sur le plan professionnel? L’ACBD/CALL a été incroyablement utile pour moi, en tant que bibliothécaire. Comme j’ai commencé dans les bibliothèques de droit directement après mes études, j’avais beaucoup à apprendre et un tout nouveau groupe de collègues à rencontrer. J’ai très rapidement participé aux activités de l’ACBD/CALL, et j’ai appris beaucoup grâce aux possibilités éducatives qui m’ont été offertes dans le cadre des congrès, grâce à ma subvention du NELI en 2010 et auprès de collègues vraiment chaleureux, sympathiques et intelligents. La bibliothéconomie est une profession où le fait d’avoir une personne à qui demander de l’aide ou soumettre des idées représente un avantage énorme, et l’ACBD/CALL m’a permis d’établir ce type de liens et de me bâtir un réseau solide avec d’autres professionnels de l’information juridique.
Indiquez trois choses qui figurent dans votre liste du cœur.
J’adore voyager; mon esprit se rend donc immédiatement dans les lieux que j’aimerais visiter, et découvre les choses à voir et à faire dans ces endroits. J’aimerais visiter Oxford, en Angleterre, et voir la ville et l’université. Il y a une limite au nombre d’épisodes d’Inspecteur Morse qu’on peut visionner sans s’y rendre en personne, et je crois que j’ai atteint la mienne! J’aimerais également visiter Istanbul. Il y a tellement de découvertes magnifiques à faire là-bas, comme le Grand Bazar, la basilique Sainte‑Sophie et la Mosquée bleue. Plus près d’ici, j’adorerais voir Vancouver, et découvrir la culture de la côte ouest dont nous entendons beaucoup parler en Ontario. Je pourrai peut-être réaliser mon souhait lors du congrès 2016 de l’ACBD/CALL!
Y a-t-il un changement relatif à la profession ou à l’industrie auquel vous vous êtes adaptée?
Je ne crois pas qu’il s’agisse tellement d’un changement relatif à l’industrie, mais plutôt d’un changement lié à mon rôle et à mon organisation, c’est-à-dire une responsabilité accrue concernant l’enseignement en matière de recherche juridique. Je viens du milieu de l’enseignement, mais je n’aurais jamais cru me servir autant de cet ensemble de compétences au cours des trois dernières années dans le cadre de mes fonctions de bibliothécaire. C’est passionnant pour moi de diriger des séances de formation, et je crois que le fait d’offrir ces séances à nos clients représente une valeur réelle pour notre bibliothèque et montre ce que nous pouvons faire au-delà de simplement être là pour répondre aux questions.
Quel a été votre premier emploi, ou votre premier emploi dans le domaine de la bibliothéconomie?
Mes premiers emplois liés à la bibliothéconomie étaient tous des emplois pour étudiants au sein de divers services d’archives ou de dossiers. Cependant, mon premier emploi réel était dans un cinéma lorsque j’avais 15 ans. Ce poste m’a énormément appris au sujet du service à la clientèle et a vraiment formé mon éthique de travail avec les clients, à laquelle je crois encore aujourd’hui. Heureusement, mon emploi actuel ne m’oblige pas à me tenir debout devant une salle de cinéma remplie de gens pour leur demander d’éteindre leurs téléavertisseurs et leurs téléphones, même si cet aspect laissait peut‑être entrevoir le côté plus « Chuuuut » de la bibliothéconomie!
Le texte français suit.
University of Windsor law librarian and former CALL President Annette Demers wrote last week on Slaw.ca about a new custom search engine for finding open source law journals from Canada, the US and Europe. The search engine covers the following collections:
Demers had already created the following custom search engines at her library:
[Michel-Adrien Sheppard]
Dans un article publié la semaine dernière sur le site Slaw.ca, Annette Demers, bibliothécaire de droit à l'Université de Windsor et ancienne president de l'ACBD, a décrit un nouveau moteur de recherche créé sur mesure pour chercher dans les revues de droit en libre accès du Canada, des États-Unis et de l'Europe. Le moteur indexe le contenu des collections suivantes:
Demers avait déjà lancé les moteurs de recherche spécialisés suivants à sa bibliothèque:
John Kerr Librarian, Wellington Law Association
Tell us a little about your educational background and how you entered the legal information industry.
I am a graduate of the University of Toronto (Erindale College). After a brief stint in industry, I enrolled in the Sheridan College LT program.
There was an opening at the local county courthouse library and I applied and was hired. Before that, I had worked in a special library based at the University of Guelph and the University of Guelph Library.
How has being involved in CALL helped you professionally?
Attending the annual conference recharges me, and I learn a few things too.
What’s your greatest work or career-related challenge?
So much software, so little time.
What’s one blog, website, or Twitter account that you can’t go one day without checking?
I have lots of Linux friends on Google+ so I am always checking that. Slaw is high on my list as well. It can also depend on what I am up to at the moment. Right now, I am hitting every website I can that has information about the LaTeX document creation software. LaTeX (pronounced Laytek) is the great grand-daddy of desktop publishing. I believe that in the near future law librarians (working with the bar) will become publishers. LaTeX is the foundation on which most academic publishing is based. I am sure that many legal publishers use LaTeX or a derivative. It is free software too, anyone can download it.
Parlez-nous un peu de vos antécédents scolaires et de la manière dont vous vous êtes intégré au secteur de l’information juridique.
Je suis diplômé de l’Université de Toronto (Collège Erindale). Après un bref passage au sein de l’industrie, je me suis inscrit au programme de bibliotechnique du Collège Sheridan.
Il y avait un poste vacant à la bibliothèque du palais de justice du comté local; j’ai posé ma candidature et j’ai été embauché. Auparavant, j’avais travaillé dans une bibliothèque spéciale établie au sein de l’Université de Guelph et à la bibliothèque de l’Université de Guelph.
En quoi votre adhésion à l’ACBD/CALL vous a-t-elle été utile sur le plan professionnel?
La participation à la conférence annuelle me permet de recharger mes batteries, et aussi d’apprendre certaines choses.
Quel est votre plus grand défi lié à votre travail ou votre carrière?
Il y a tellement de logiciels, et si peu de temps.
Y a-t-il un blogue, un site Web ou un compte Twitter que vous ne pouvez pas négliger de consulter tous les jours?
J’ai de nombreux amis Linux sur Google+, donc je vérifie toujours ma page. Slaw figure aussi au sommet de ma liste. Cela peut également dépendre de ce que je fais à un moment donné. À l’heure actuelle, je consulte tous les sites Web possibles qui contiennent de l’information au sujet du logiciel de création de documents LaTeX. LaTeX (on prononce Laytek) est l’arrière-grand-père de l’éditique. Je crois que dans un avenir proche, les bibliothécaires de droit (en collaboration avec le barreau) deviendront des éditeurs. LaTeX est la base sur laquelle s’appuie l’essentiel de l’édition universitaire. Je suis convaincu que de nombreux éditeurs juridiques utilisent LaTeX ou un programme dérivé. C’est également un logiciel gratuit; tout le monde peut le télécharger.
Indiquez trois choses qui figurent dans votre liste du cœur?
It was very exciting to see Daniel Poulin’s Slaw post on the recent Canadian Law Library Review article “Charting Law’s Cosmos: Toward a Crowdsourced Citator” by Mark Phillips, ((2015) 40:2 Can L Libr Rev 13).
To quote Daniel about reading the article, “Immerging oneself in it is like being 40 again: abundant critics of the slow moving incumbents, strong expressions of idealism peppered with some good ideas. Such a reading is good for the heart and the brain.”
Read his SLAW post “Enfin. a Good Paper in the Canadian Law Library Review!” and then don’t forget to read the article itself, you won’t be disappointed.
As he notes the title of his post is deliberately provocative. As editor, I can confirm that we have had many good papers in the CLLR. Rex Shoyama’s recent award winning feature article ((2014) 39:2 Can L LIbr Rev 11) “Citations to Wikipedia in Canadian Law Journal and Law Review Articles” is a case in point. Rex’s article was mentioned in The Wikimedia Research Newsletter and was also discussed in the Cleveland-Marshall College of Law's Library Blog.
Susan Barker Editor Canadian Law Library Review
Earlier this week, the Truth and Reconciliation Commission released its findings after its multi-year investigation into over a century of physical and sexual abuses against Aboriginal children at Church-run Indian Residential Schools.
The Government Library & IM Professionals Network, part of the Canadian Library Association, has compiled the Commission's many calls to action that focus on the information management community (museums, Library and Archives Canada, archivist associations, vital statistics agencies, etc.).
In addition, Library and Archives Canada has compiled a list of resources relating to residential school records.
Plus tôt cette semaine, la Commission de vérité et reconciliation du Canada a publié les conclusions de son enquête de plusieurs années sur les nombreux abus physiques et sexuels subis pendant plus d'un siècle par les enfants autochtones envoyés dans les pensionnats indiens.
La Commission a publié de nombreux appels à l'action qui s'adressent en particulier aux bibliothèques et à la communauté de la gestion de l'information [en anglais] (musées, Bibliothèque et Archives Canada, associations d'archivistes, bureaux d'état civil, etc.). Ce sont les articles 67 à 78 dans ce document en français.
De plus, Bibliothèque et Archives Canada a publié une liste de Ressources pour la recherche des pensionnats autochtones.
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Mark Lewis
Reference/IT Librarian Sir James Dunn Law Library, Dalhousie University
I obtained my BA (Honours) Political Science & History from the University of New Brunswick. Prior to finishing that degree, I was an exchange student at Bilkent University in Ankara, Turkey (one of the best experiences of my life). I obtained my MLIS from Dalhousie University and, later, a Graduate Diploma in Public Administration as well. Sometime in the mix there, I started down the road of studying near and Middle Eastern civilizations but veered from there to the MLIS. My interest in the legal information industry came from work I did with the New Brunswick Legislative Library as a student and post-MLIS. When it came time to look for permanent work, I was looking for a gov docs/legal information type of position. After some months and a couple of short-term contracts, I was lucky enough to get two offers at once (when it rains it pours), one to go stateside and one here in Canada. By virtue of this being the Canadian Association of Law Libraries, you can guess which path I took.
It has helped me tremendously, from being sponsored for the Northern Exposure to Leadership Institute, to scholarship assistance to further my education, to access to continuing professional development, as well as the ability to consult with a vast network of colleagues. I cannot imagine my career without the assistance of CALL. Now that I am mid-career, I hope to be able to give back a bit while also continuing to take advantage of further opportunities that arise to enhance my career through CALL/ACBD.
Maester Aemon. He could have been king but made the considered decision to remain an information professional!
The ongoing development of the profession and the need to "keep up" never stops. Many people, upon learning that you work in a library, say something to the effect that it must be a nice, "calm" existence. I've found it to be quite the opposite. In this day and age, the landscape is constantly shifting and staying on top of those developments is a daily challenge.
If being in the legal information industry is your goal, don't limit yourself by geography. Watch for the dominoes to fall. There may be a stretch with few opportunities but then one person will move to another position and a domino effect will start—watch for it. One piece of advice to anyone looking for work in the industry is not to be afraid of taking a contract to build up experience and contacts. Lastly, don't limit yourself by the traditional notion of a librarian. I prefer to think of us as information ninjas. Look for a legal information ninja position, and don't be afraid to point out to management types that what they really need is someone with the skill set that you happen to possess.
J’ai obtenu un B.A. (avec distinction) en science politique et histoire de l’Université du Nouveau-Brunswick. Avant d’obtenir ce diplôme, j’ai participé à un programme d’échanges d’étudiants à l’Université Bilkent à Ankara, en Turquie (l’une des meilleures expériences de ma vie). J’ai obtenu une MBSI de l’Université de Dalhousie puis, plus tard, un diplôme d’études supérieures en administration publique. Quelque part dans tout cela, j’ai commencé à étudier les civilisations du Proche-Orient et du Moyen‑Orient, mais je me suis plutôt dirigé vers la MBSI. Mon intérêt pour le secteur de l’information juridique découle du travail que j’ai effectué à la bibliothèque de l’Assemblée législative du Nouveau-Brunswick, pendant mes études et après l’obtention de ma MBSI. Lorsqu’est venu le temps de chercher un emploi permanent, je recherchais un poste dans le domaine des documents gouvernementaux et de l’information juridique. Après quelques mois et deux ou trois contrats de courte durée, j’ai eu la chance de recevoir deux offres en même temps (un bonheur ne vient jamais seul), l’une aux États-Unis et l’autre ici, au Canada. Comme il s’agit de l’Association canadienne des bibliothèques de droit, vous pouvez deviner quel chemin j’ai pris.
Elle m’a énormément aidé, de mon parrainage auprès du Northern Exposure to Leadership Institute à la bourse qui m’a été octroyée pour poursuivre mes études, en passant par l’accès à des possibilités de perfectionnement professionnel continu et la capacité de consulter un vaste réseau de collègues. Je ne saurais concevoir ma carrière sans l’aide de l’ACBD/CALL. Maintenant que j’en suis au milieu de ma carrière, j’espère pouvoir remettre un peu de ce que j’ai reçu, tout en continuant de tirer profit d’autres possibilités d’enrichir mon parcours professionnel grâce à l’ACBD/CALL.
Maester Aemon. Il aurait pu être roi, mais il a pris la décision réfléchie de demeurer un professionnel de l’information!
L’évolution continue de la profession et la nécessité de « suivre le rythme » ne s’arrêtent jamais. Bien des gens, lorsqu’ils apprennent que vous travaillez dans une bibliothèque, croient qu’il doit s’agir d’une existence agréable et « paisible ». J’ai constaté qu’il en est tout autrement. De nos jours, le paysage évolue constamment, et suivre le rythme de cette évolution constitue un défi quotidien.
Si votre objectif est de faire partie du secteur de l’information juridique, ne vous imposez pas de limites géographiques. Regardez les dominos tomber. Il peut y avoir une période où les possibilités sont rares, mais ensuite une personne se déplace vers un autre poste, ce qui déclenche une réaction en chaîne—soyez à l’affût. Je conseille aux personnes qui cherchent du travail dans le secteur de ne pas avoir peur d’accepter un contrat afin d’acquérir de l’expérience et de nouer des liens. Enfin, ne vous limitez pas à la notion traditionnelle concernant les bibliothécaires; je préfère nous considérer comme des « ninjas » de l’information. Cherchez un poste de « ninja » de l’information juridique, et ne craignez pas de signaler aux gens du domaine de la gestion qu’ils ont réellement besoin de quelqu’un
The American Association of Law Libraries (AALL) announced this week that that Lex Machina’s Legal Analytics product is the winner of its 2015 New Product Award.
The product can help litigators answer questions such as:
The award recognizes new commercial information products that enhance or improve existing law library services or procedures or innovative products which improve access to legal information, the legal research process, or procedures for technical processing of library materials.
Cette semaine, l'Association américaine des bibliothèques de droit (AALL) a remis son prix 2015 du meilleur nouveau produit d'information à Legal Analytics de la compagnie Lex Machina.
Ce produit peut aider les plaideurs à répondre à des questions telles que:
Le prix reconnaît de nouveaux produits d'information de nature commerciale qui améliorent des services ou procédures existants ou de nouveaux produits innovateurs qui améliorent l'accès à l'information juridique, le processus de recherche juridique ou les procédures pour le traitement technique de la documentation.
University of Toronto Press is the recipient of the 2015 Hugh Lawford Award for Excellence in Legal Publishing for its publication of the Osgoode Society for Canadian Legal History book series, acknowledging the commitment to excellence that has resulted in 35 unbroken years of publishing in a subject area not otherwise well-covered, with an average publication of two titles a year, all of which are readable, interesting, and informative, and whose contents can be easily accessed through well-structured tables of contents and in-depth indexing. The award was presented on Monday evening, May 4 at the CALL/ACBD conference in Moncton.
Perma.cc, a service invented by the Harvard Law School Library that helps courts and researchers create an archive of permanent links for web citations, has won the 2015 Webby Award in the category of best law-related website.
Perma.cc, supported by a network of more than 60 law libraries, is a possible solution to "link rot", the very common and annoying problem of hyperlinks to web pages that have become broken or defunct.
The Webby Awards recognize outstanding achievement in websites, online film and video, mobile and apps, and interactive advertising and media. There are numerous categories, ranging from activism to sports.
The Awards are presented by the International Academy of Digital Arts and Sciences, an international organization of leading Web experts, business figures, and cultural celebrities.
Perma.cc, un service créé par la bibliothèque de la Faculté de droit de l'Université Harvard qui aide les tribunaux et les chercheurs à archiver de façon permanente les références sur le web, a remporté le prix Webby 2015 dans la catégorie du meilleur site Internet dans le domaine du droit.
Perma.cc, appuyé par un réseau de plus de 60 bibliothèques de droit, se veut une solution au problème des « liens rompus », ces hyperliens qui dirigent les internautes vers des pages, serveurs ou autres ressources qui ont disparu.
Les « Webby Awards » visent à reconnaître l'excellence dans les domaines des sites web, du cinéma et de la vidéo en ligne, des applications de téléphonie mobile, de la pub interactive et des médias. Il y a des prix dans de multiples catégories, allant du militantisme social aux sports.
Les prix sont décernés par la International Academy of Digital Arts and Sciences, une organisation internationale qui regroupe des leaders reconnus de l'Internet et du monde des affaires et de la culture.