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  • 16 Apr 2016 1:50 PM | Deleted user

    Rosalie Fox
    Director, Library & Information Management Branch
    Supreme Court of Canada

    Tell us a little about your educational background and how you entered the legal information industry.

    I am definitely an accidental librarian.  After graduating with a BA (History) from Vassar College, I was working in an archival institution and wanted to take an archives course at McGill to improve my understanding of archival organization.  The Dean of the Library School at McGill convinced me to register for the Master’s program while I was deciding what to do with my life.  After graduating from McGill, I worked as a generalist in the Reference Services Section of the National Library of Canada.  It was a great training ground for a government library – we had access to a superb reference collection (remember those print indices and abstracting tools!) and to colleagues with great depth of knowledge in government documents.  That helped me get my next position as Head Librarian at the Federal Court of Canada.

    How has being involved in CALL helped you professionally?

    I joined CALL immediately upon starting at the Federal Court in 1989 and attended my first CALL conference in Vancouver in 1990.  That was also my last visit to Vancouver, so I am really looking forward to attending the conference this year.  CALL was both welcoming to a newbie and enlightening.  That first year the membership was still all fired up about the changes to the Canadian Abridgment, and a number of resolutions on the future of ICLL came out of that conference.  The atmosphere was charged, the sessions were stimulating, and I made a number of contacts among the judicial librarians that proved helpful to a new law librarian.  I was hooked.  Over the years, CALL has given back much more than I have contributed.  The association has given me a lobbying outlet when my own position made it difficult to deal with certain issues as a representative of my employer.  I have (partially) overcome my fear of public speaking—representing the Association as a Member-at-Large, a SIG Chair, and as President gave me ample opportunities to attend international conferences and make presentations.  And chairing CALL Executive Board meetings helps you hone your time management skills!

    What’s one change in the profession or industry you’ve embraced?

    Reading online has been a big adjustment, but I am slowly embracing the change.  The Supreme Court Library, like many other libraries, is reducing its reliance on print where an online equivalent is available in a stable and cost effective format.  I am even quite pragmatic about the preservation of the historical record – if the legal profession feels that information is critical for their work, legal information publishers and information management practitioners will figure out a way of preserving a digital record.  It may feel chaotic at the moment, but I am optimistic that the digital age will not be a black hole in the future.

    Who is your favourite library professional—living or dead, real or fictional?

    This is a really difficult question, because I have been influenced by so many wonderful librarians over the years.  And I have to confess, my second year of library school was spent tracking down mystery novels set in libraries (of the Dewey Decimated variety) so I do have some fictional favourites.  But if I had to choose, I would say Marianne Scott, the former National Librarian of Canada and a past president of CALL.  I had the privilege of working for Dr. Scott briefly in 1998-99, when I coordinated the Federal Libraries Consortium.  She was deeply committed to ensuring that the National Library of Canada had a world class collection in the social sciences and humanities and in Canadiana from around the world.  Years after her retirement, I met her at an IFLA Conference and asked why she was there (chairing a committee).  She said then, attending a conference without playing an active role in the association was just a ‘junket’ and that it was only through active participation that one got the full benefit of membership.  

    What’s your greatest professional success?

    Being elected to represent CALL as its President, without a doubt.  I have a great team at the Supreme Court Library, and any success there has to be attributed to the staff (ditto at Federal Court), but chairing the Executive Board for CALL was a personal high. 

    Parlez-nous un peu de vos antécédents scolaires et de la manière dont vous vous êtes intégrée au secteur de l’information juridique.

    Je suis manifestement devenue bibliothécaire par accident. Après avoir obtenu mon B.A. (histoire) du collège Vassar, j’ai travaillé dans une institution d’archives et je voulais suivre un cours sur les archives à McGill afin d’améliorer ma compréhension des organisations d’archives. Le doyen de l’École de bibliothéconomie de l’Université McGill m’a convaincue de m’inscrire au programme de maîtrise pendant que je décidais de mon orientation future. Après avoir obtenu mon diplôme de l’Université McGill, j’ai travaillé en tant que généraliste au service des références à la Bibliothèque nationale du Canada. Cela m’a permis d’acquérir une solide formation pour occuper un poste de bibliothécaire gouvernemental – nous avions accès à une superbe collection d’ouvrages de référence (notamment les index imprimés et les outils d’abstraction) et à des collègues qui possédaient une connaissance approfondie des documents gouvernementaux. Cela m’a aidée à obtenir le poste bibliothécaire en chef à la Cour fédérale du Canada.

    En quoi votre adhésion à l’ACBD/CALL vous a-t-elle été utile sur le plan professionnel?

    Je me suis immédiatement jointe à l’ACBD lorsque j’ai commencé à travailler à la Cour fédérale en 1989 et j’ai assisté à ma première conférence de l’ACBD à Vancouver en 1990. C’était également ma dernière visite à Vancouver; par conséquent, j’ai vraiment hâte à la conférence de l’an prochain. L’ACBD s’est montrée accueillante et instructive pour une nouvelle comme moi. Durant la première année, les membres faisaient preuve d’un grand enthousiasme concernant les changements apportés au Canadian Abridgement, et de nombreuses résolutions sur l’avenir de l’IDJC ont été adoptées lors de cette conférence. L’atmosphère était chargée, et les séances étaient stimulantes. J’ai établi de nombreux contacts avec des bibliothécaires juridiques qui se sont avérés utiles dans mon travail de bibliothécaire en droit. J’étais conquise. Avec les années, l’ACBD m’a donné beaucoup plus d’avantages que ce que j’y ai contribué. L’Association m’a fourni des occasions de lobbyisme lorsqu’en raison de mon poste, il était devenu difficile de traiter de certains enjeux en tant que représentant de mon employeur. J’ai surmonté (partiellement) ma peur de parler en public en représentant l’Association comme membre à titre personnel, présidente du GIS et présidente, ce qui m’a donné de nombreuses occasions de participer à des conférences internationales et de faire des présentations. De plus, présider les réunions du conseil d’administration de l’ACBD m’a permis d’améliorer mes aptitudes en gestion du temps!

    Y a-t-il un changement relatif à la profession ou à l’industrie auquel vous vous êtes adaptée?

    Lire en ligne a été un gros ajustement, mais je m’habitue tranquillement. La bibliothèque de la Cour suprême, tout comme de nombreuses autres bibliothèques, réduit son utilisation des documents imprimés lorsque des publications en ligne équivalentes sont disponibles dans un format stable et rentable. Je fais également preuve de pragmatisme en ce qui a trait à la conservation des documents historiques – si les membres de la profession juridique croient que l’information est essentielle pour leur travail, les éditeurs d’information juridique et les praticiens en gestion de l’information trouveront un moyen de conserver le document en format numérique. Pour le moment, cela semble être le chaos, mais j’ai bon espoir que l’ère numérique ne sera pas un trou noir à l’avenir.

    Qui est votre professionnel de la bibliothéconomie favori, vivant ou décédé, réel ou fictif?

    Cela m’est difficile de répondre à cette question, parce que j’ai été influencée par de nombreux bibliothécaires compétents au fil des ans. Je dois avouer que durant ma deuxième année d’études en bibliothéconomie, je me suis consacrée à la recherche de séries de romans d’intrigue (classifiés selon le système Dewey) dans les différentes bibliothèques. Mais si je devais choisir, je dirais Marianne Scott, l’ancienne bibliothécaire de la Bibliothèque nationale du Canada et ancienne présidente de l’ACBD. J’ai eu le privilège de travailler avec Mme Scott brièvement en 1998-1999, alors que je coordonnais le Consortium des bibliothèques fédérales. Elle consacrait beaucoup d’énergie à s’assurer que la Bibliothèque nationale du Canada possède une collection de calibre mondial dans les domaines des sciences sociales et des humanités et en Canadiana de partout dans le monde. Plusieurs années après sa retraite, je l’ai rencontrée à une conférence de l’IFLA et lui ai demandé pourquoi elle y assistait (elle présidait un comité). Elle m’a alors dit que participer à une conférence sans jouer un rôle actif dans l’association ne constituait que des « voyages éclair » et que seule une participation active permettait de tirer entièrement parti de l’appartenance à l’association.  

    Quelle est votre plus grande réussite professionnelle?

    Être élue présidente pour représenter l’ACBD, sans aucun doute. Je dirige une équipe formidable à la bibliothèque de la Cour suprême et mon succès au sein de cette organisation doit être attribué au personnel (de même à la Cour fédérale), mais présider le conseil d’administration de l’ACBD constitue pour moi une grande réalisation personnelle.  

  • 18 Mar 2016 4:07 PM | Deleted user

    Alicia Loo
    Manager, Legal Research and Client Services
    Library & Information Management Branch, Supreme Court of Canada

    Tell us a little about your educational background and how you entered the legal information industry.

    I started my post-secondary studies studying French at UBC but ended up earning my undergraduate degree in International Relations.  This was followed by a year spent in China, learning the language and travelling around Southeast Asia while figuring out what to do next.  I knew I really enjoyed research, and I remembered how thrilled I was the first time the librarian at UBC’s Main Library introduced me to the Canadian Historical Review Index.  I had no idea such a tool existed; it made research so much easier and better. Upon my return to Canada, I put the two together and decided to pursue a career in special libraries. I was hired as a Social Science and Business Reference Librarian at the Metro Toronto Reference Public Library on Yonge & Bloor. It was an excellent training ground for a new grad, and I really enjoyed using the reference collection and helping the public navigate the statutes.  I moved to Ottawa and landed a full-time job with Statistics Canada, and when an opening came up at the Supreme Court of Canada, I applied and have been very fortunate to be here ever since.

    How has being involved in CALL helped you professionally?

    The network available to CALL members is unparalleled.  It is great to see familiar and new faces each year at our general meeting, but the contacts continue throughout the year because we are a sharing community. I recall my first CALL conference in Montreal and how great it was to meet librarians from all over the country.  The opportunities to be involved with the Association are endless.  I would have never thought I would become part of the Executive Board but here I am – understanding the work and making expenditure and investment decisions on behalf of our members.  This has been an eye opener.  The Association is really run by dedicated and caring individuals.  I have witnessed this among the Board members but also from every single committee and special interest group. 

    What’s your greatest professional success?

    I am humbled that I can come to work at an institution that is so well-respected in our country.  I have had the privilege to have worked with over 500 law clerks while at the Court.  It is rewarding to have been part of their introduction to new legal sources and to have been able to create new library-related services designed to save them time and improve their approach to research.

    What is one thing people would be surprised to know about you?

    People always do a double take when they hear me speak in Spanish.   During a recent dinner conversation, my kids mentioned how they were used to our multi-cultural upbringing. My ancestors are from China, but I was born in Peru and grew up in Canada so we embrace the best from these cultures: the food, customs, traditions, and sports— we are a soccer and hockey family.

    What’s one piece of advice you’d give to someone looking to break into the legal information industry?

    I have this quote on my desk which I find is applicable to anyone in our profession, new or experienced:

    “Welcome to the information age.  To survive, you need to handle information. You don’t need to memorize it.  You only have to know what is out there, and how to get it when you need it.  Moreover, as professionals, you are paid to know how to use the information once you have it.  

    In an information-based world, doing our jobs may require that we spend some part of each day learning. When you think about it, it’s not a bad thing.”

    Parlez-nous un peu de vos antécédents scolaires et de la manière dont vous vous êtes intégrée au secteur de l’information juridique.

    J’ai commencé mes études postsecondaires par l’étude du français à l’Université de la Colombie-Britannique, mais ai fini par obtenir un diplôme de premier cycle en relations internationales. J’ai passé ensuite un an en Chine, où j’ai appris la langue et voyagé dans le Sud-est asiatique tout en réfléchissant à mon avenir. Je savais que j’aimais beaucoup la recherche, et je me souvenais de l’excitation ressentie la première fois que le bibliothécaire de la Main Library de l’Université de la Colombie-Britannique m’avait présenté l’index de la Canadian Historical Review. Je ne connaissais pas l’existence d’un tel outil; celui-ci facilitait et améliorait tellement les recherches. À mon retour au Canada, j’ai conjugué mes deux centres d’intérêt et décidé de poursuivre une carrière dans les bibliothèques spécialisées. J’ai été engagée comme bibliothécaire de référence en sciences sociales et en affaires à la Bibliothèque de référence de Toronto au coin des rues Yonge et Bloor. Cet emploi constituait une excellente formation pratique pour une nouvelle diplômée, et j’ai beaucoup aimé utiliser la collection de référence et aider le public à s’y retrouver dans les textes législatifs. J’ai déménagé à Ottawa et trouvé un emploi à temps plein à Statistique Canada. Lorsqu’un poste s’est présenté à la Cour suprême du Canada, j’ai posé ma candidature et ai beaucoup de chance d’être encore à ce poste aujourd’hui.

    En quoi votre adhésion à l’ACBD/CALL vous a-t-elle été utile sur le plan professionnel?

    Le réseau mis à la disposition des membres de l’ACBD est sans égal. Nous retrouvons les personnes que nous connaissons bien et découvrons de nouveaux visages chaque année à notre assemblée générale, mais nous restons en lien pendant tout le reste de l’année, car nous formons une communauté de partage. Je me souviens de la première conférence de l’ACBD à laquelle j’ai participé à Montréal et du bonheur de rencontrer des bibliothécaires issus de l’ensemble du pays. Les possibilités offertes en tant que membre de l’Association sont illimitées. Je n’aurais jamais imaginé faire partie du conseil d’administration, mais m’y voici aujourd’hui : je comprends mieux le travail de l’Association et je prends des décisions sur les dépenses et les investissements au nom des membres. Ce rôle m’a ouvert les yeux. L’Association est dirigée par des personnes extrêmement serviables et dévouées. J’ai été témoin de ce dévouement au conseil d’administration, mais également dans chacun des comités et des groupes d’intérêt spécial.

    Quelle est votre plus grande réussite professionnelle?

    Je suis reconnaissante de pouvoir travailler dans une institution très respectée dans notre pays. J’ai eu le privilège de collaborer avec plus de 500 juristes à la Cour. Ma contribution à leur découverte de nouvelles sources juridiques et à la création de nouveaux services de bibliothèque qui leur permettent de gagner du temps et d’améliorer leurs méthodes de recherche est très gratifiante.

    Quelle est la chose que les gens seraient étonnés d’apprendre à votre sujet?

    Les gens sont toujours étonnés de m’entendre parler espagnol. Au cours d’une conversation récente à table, mes enfants m’ont fait remarquer combien ils étaient habitués à notre éducation multiculturelle. Mes ancêtres sont chinois, mais je suis née au Pérou et j’ai grandi au Canada; ainsi, nous profitons du meilleur de ces cultures : la nourriture, les habitudes, les traditions et les sports – nous jouons au soccer et au hockey dans notre famille.

    Quel conseil offririez-vous à une personne qui cherche à percer dans le secteur de l’information juridique?

    Je pense à cette situation posée sur mon bureau qui s’applique selon moi à tout le monde dans notre profession, bibliothécaires débutants ou chevronnés :

    « Bienvenue dans l’ère de l’information.  Pour survivre, vous devez savoir gérer l’information. Vous n’avez pas besoin de la mémoriser. Vous devez seulement savoir qu’elle existe et comment y accéder quand vous en avez besoin. De plus, en qualité de professionnels, vous êtes rémunérés pour savoir comment utiliser l’information une fois que vous y avez accédé. 

    Dans un monde fondé sur l’information, nous pouvons être amenés, dans l’exercice de nos fonctions, à passer une partie de notre journée à apprendre. Quand on songe bien, ce n’est pas une mauvaise chose. » 

  • 18 Feb 2016 10:51 AM | Deleted user


    Paul McKenna
    President, Public Safety Innovations Inc.

    Tell us a little about your educational background and how you entered the legal information industry.

    I have a Master’s in Library Science from the Faculty of Library & Information Studies (FLIS) at the University of Toronto as well as a Master’s in Political Science from the University of Western Ontario. Also, I have a B.Ed. from the Ontario Institute for Studies in Education (OISE) at the University of Toronto and have completed course work toward a Ph.D. in Interdisciplinary Studies at Dalhousie University.

    Entry to the legal information industry came as a result of my studies at FLIS where a course on legal bibliography taught by Balfour Halevy proved both challenging and exciting. I had been working part-time while completing my MLS degree at the Centre of Criminology at the University of Toronto and turned that working experience to good advantage when a position came open for a cataloguer within the Osgoode Hall Law Library. I was successful in that competition and now had an opportunity to work with Balfour Halevy and the other professional librarians at Osgoode Hall Law School. 

    How has being involved in CALL helped you professionally?

    Early and extensive involvement with CALL was seen as essential for those working at the Osgoode Hall Law Library. I was encouraged to get involved in committee and sub-committee work and took this responsibility seriously. Also, attendance at CALL conferences was critical in providing me with excellent professional development opportunities, contact with a national network of colleagues, and a growing sense of professional engagement. I was also greatly assisted by an early gift from the Eunice Beeson Travel Fund. 

    What's one change in the profession or industry that you've embraced?

    The exponential expansion of legal research capacity best exemplified in the growing availability of digital tools has been something that I have embraced on a deep and dedicated level. This has allowed me to develop and deploy my research knowledge, skills, and abilities in ways that support an ongoing consulting practice as well as facilitating graduate-level teaching in the School of Information Management at Dalhousie University. 

    What's one blog, website or Twitter account that you can't go one day without checking?

    If pressed to choose just one, I would have to say that my 'go to' spot is the website for the Police Executive Research Forum (PERF) in Washington, DC. They produce (among other things) a 'Daily Clips' feature that keeps me alert to developments in the world of policing and public safety where I have focused my consulting practice. It includes American, Canadian, and British items that touch on critical issues and developing themes.

    What was your first job or first library-related job?

    My first (true) library-related job was with the United Church of Canada Archives which were housed in Emmanuel College at Victoria University. I was tasked with cataloging rare archival materials and my work was done under a bare light bulb suspended from the ceiling of an extremely tiny vault in the Archivist-Historian's office. I also worked in the E.J. Pratt Library at Victoria University as an undergraduate English major. This is, however, quite significant as it's where I met my future wife and life partner, Lee Simpson.

    Parlez-nous un peu de vos antécédents scolaires et de la manière dont vous vous êtes intégré au secteur de l’information juridique.

    Je possède une maîtrise en bibliothéconomie de la faculté de sciences bibliothécaires et d’information (FLIS) de l’Université de Toronto ainsi qu’une maîtrise en sciences politiques de l’Université Western. J’ai également obtenu un B. Éd. de l’Ontario Institute for Studies in Education (OISE) de l’Université de Toronto et j’ai terminé les cours en vue de l’obtention d’un doctorat en études interdisciplinaires à l’Université Dalhousie.

    J’ai fait mon entrée dans le secteur de l’information juridique à la suite des mes études à la FLIS, alors que Balfour Harvey enseignait un cours sur les bibliographies juridiques, que j’ai trouvé à la fois difficile et stimulant. Je travaillais à temps partiel au centre de criminologie de l’Université de Toronto pour terminer ma maîtrise en bibliothéconomie et j’ai tiré pleinement avantage de cette occasion en postulant à un poste de catalographe qui était vacant à la bibliothèque de droit Osgoode Hall. J’ai été embauché et ai eu l’occasion de travailler avec Balfour Halevy et d’autres bibliothécaires de la bibliothèque de droit Osgoode Hall. 

    En quoi votre adhésion à l’ACBD/CALL vous a-t-elle été utile sur le plan professionnel?

    Une collaboration précoce et approfondie avec l’ACBD était considérée comme essentielle pour les employés de la bibliothèque de droit Osgoode Hall. On m’a encouragé à participer aux travaux du comité et des sous-comités et j’ai pris cette responsabilité très au sérieux. Également, la participation aux conférences de l’ACBD a rempli un rôle crucial en me fournissant d’excellentes occasions de perfectionnement professionnel, des contacts avec un réseau national de collègues et un sens croissant d’engagement professionnel. J’ai également reçu de l’aide financière du fonds de voyage Eunice Beeson. 

    Y a-t-il un changement relatif à la profession ou à l’industrie auquel vous vous êtes adapté?

    L’expansion exponentielle de la capacité de recherche en droit, dont le meilleur exemple constitue la disponibilité croissante des outils numériques, est un changement auquel je me suis entièrement ajusté. Cela m’a permis d’approfondir et d’utiliser mes connaissances, mes aptitudes et mes capacités en recherche de manière à diriger une pratique d’expert-conseil tout en donnant des cours au niveau des études supérieures à l’École de gestion de l’information de l’Université Dalhousie. 

    Y a-t-il un blogue, un site Web ou un compte Twitter que vous ne pouvez pas négliger de consulter tous les jours?

    Si on me force à n’en choisir qu’un, je dirais que le site à ne pas manquer est le site Web du Police Executive Research Forum (PERF) de Washington, DC. Ce site produit (entre autres) un article vedette intitulé « Daily Clips » qui me tient au courant des nouveautés dans le domaine policier et de la sécurité publique, soit le domaine dans lequel ma pratique d’expert-conseil est spécialisée. Il comprend des renseignements sur des sujets américains, canadiens et britanniques qui ont trait à des enjeux importants et des thèmes émergents.

    Quel a été votre premier emploi, ou votre premier emploi dans le domaine de la bibliothéconomie?

    Mon premier (vrai) emploi dans le domaine des bibliothèques a été aux archives de l’Église Unie du Canada, qui se trouvaient dans les locaux du Emmanuel College de l’Université Victoria. Mes tâches consistaient à cataloguer des documents d’archives rares et je travaillais sous une ampoule nue suspendue au plafond d’une voûte extrêmement exigüe située dans le bureau de l’archiviste-historien. J’ai également travaillé à la bibliothèque E.J. Pratt de l’Université Victoria durant mes études au baccalauréat spécialisé en anglais. Cependant, cette période a été marquante dans ma vie, car j’ai rencontré ma future femme et partenaire de vie, Lee Simpson.

  • 01 Feb 2016 1:04 PM | Michel-Adrien Sheppard (Administrator)

    Quebec’s new Code of Civil Procedure came into force on January 1, 2016. It involves an ambitious overhaul of the way cases are supposed to work their way through the courts and it is intended to increase access to justice.

    The Quebec Ministry of Justice website has posted material explaining the main highlights of the changes:  

    "The new Code of Civil Procedure is intended to make the civil justice system more accessible, while protecting the rights of all parties to state their claims before a court. To reduce delays in the justice system, the new Code gives priority to amicable dispute resolution processes such as mediation, arbitration and conciliation, which are less confrontational, more accessible and more likely to ensure a quick outcome."

    "Parties that opt for a traditional trial in court must ensure that all their applications, pleadings and evidence are proportionate to the nature and complexity of the case, in order to prevent abuses of procedure."

    "Judges will have greater powers to manage cases, in particular to ensure compliance with the principles of proportionality and cooperation at the heart of the new Code of Civil Procedure. For example, they will be able to reduce the number of examinations and expert opinions required; both these elements have often been identified as causing significant costs or delays for citizens."  

    CAIJ, the Centre d'accès à l'information juridique (the network of courthouse law libraries associated with the Québec Bar Association),  has recently added an annotated version of the province's new Code of Civil Procedure to its website (in the lefthand column of the eLOIS page, click on "Code de procédure civile (nouveau)"). 
     
    It includes the text of sections of the new Code, a list of changes in legal terminology (there are a lot of changes), a concordance between the new and old Codes, background commentaries for each section from the provincial Ministry of Justice, links to related regulations, links to any Code-related research questions answered by the CAIJ libraries, as well as links to debates in the Québec National Assembly and positions adopted by the Québec Bar Association. 

    Finally, on January 26, 2016, the Montreal French-language daily La Presse published a series of articles on the new Code: 

    [Michel-Adrien Sheppard]
  • 15 Jan 2016 5:53 PM | Deleted user

    Wendy Reynolds
    Manager, Accessibility, Information Services Branch
    Legislative Assembly of Ontario

    Tell us a little about your educational background and how you entered the legal information industry.

    I have an undergraduate degree in Administrative Studies from Trent and a MLIS from Western. I frequently say that Western got me the job, but Trent gave me the interest in public policy and law. At one point, I’d considered becoming a lawyer but decided that I was more interested in the research and problem-solving than I was in drafting or deal-making. I have to confess that my getting into law librarianship was somewhat less planned than the previous sentence would make it appear. I’d been working as a cataloguer for Statistics Canada when a position at the Federal Court of Canada became available. I managed to make the case that “if you can put stuff into a collection, you can get it out” and that two years managing a sports bar in the east end of Ottawa would qualify me to serve the judges of the Court and got the job.

    How has being involved in CALL helped you professionally?

    Aside from being a great way to add to your subject-matter expertise through conference sessions, webinars, and the CLLR, taking an active role in the life of the Association is the smartest thing a young professional can do to help develop their career. After all, if you can convince a committee of volunteers to follow your leadership, how much easier will it be to supervise or manage a team who relies on you for a good performance review at the end of the year? For many young professionals, participating in CALL committees or on the Executive Board allows them to experience (perhaps for the first time) hands-on management, governance, strategic planning, and leadership. The best evidence I can offer of the value of this type of activity is that when my appointment to the staff of the Ontario Legislative Library was announced, my activities with professional associations were featured prominently in the write-up.

    Besides, communities like this are just more fun when you participate! I’ve now got a national network of friends that I get to see every year at conference – people  who can relate to my work, are willing to share what they know, and who push me to keep learning and developing.

    What’s one change in the profession or industry that has been a challenge for you?

    One thing I’ve noticed in the last couple of libraries I’ve worked in is the decline of foot traffic. I know why it’s happening – it’s a lot more efficient to e-mail or text message your request, but I think that it’s become much harder to develop that bond between the library staff and the clients who come in. Students, in particular, need a place where they can feel that there are “no dumb questions”, and the library can be such a safe haven for them.

    On the other hand, smart librarians are getting out from behind their desks and actively inserting themselves into the business of their organizations! What an opportunity to really get to know how the widgets are made, and to be able to add value at every turn – not just when corporate memory fails and someone needs something researched.  

    What’s one blog, website, or Twitter account that you can’t go one day without checking?

    www.webaim.org – I’m currently responsible for helping the Assembly achieve compliance with the Accessibility for Ontarians with Disabilities Act  (AODA), and this website is not only a great source of best practices and educational pieces, but it also hosts WAVE, an accessibility testing tool for web content.

    Who is your favourite library professional—living or dead, real or fictional?

    I suppose that Bunny Watson (from the movie Desk Set) is the trite answer, but I have to say that I’ve been greatly influenced by Shaunna Mireau. Shaunna is utterly fearless, and will take on any challenge presented to her. She is smart, smart, smart, and looks for opportunities to add to what she knows. I also admire her attention to detail, which is not something I possess. And she’s fun – as evidenced by the fact that she is a founding member of the CALL Ukulele Summit.

    Parlez-nous un peu de vos antécédents scolaires et de la manière dont vous vous êtes intégrée au secteur de l’information juridique.

    Je suis titulaire d’un diplôme de premier cycle en études administratives de Trent et d’une MBSI de Western. Je dis souvent que Western m’a permis d’obtenir un emploi, mais que Trent a suscité chez moi un intérêt pour la politique publique et le droit. J’ai un moment envisagé de devenir avocate, mais j’ai décidé que la recherche et la résolution de problèmes m’intéressaient davantage que la rédaction ou la conclusion d’ententes. Je dois avouer que mon orientation vers la bibliothéconomie juridique était un peu moins planifiée que la phrase précédente ne le laisserait croire. Je travaillais comme catalographe à Statistique Canada lorsqu’un poste est devenu vacant à la Cour fédérale du Canada. J’ai réussi à faire valoir que « si on peut mettre des choses dans une collection, on peut les en retirer », et qu’après avoir géré pendant deux ans un bar sportif dans l’est d’Ottawa j’étais qualifiée pour servir les juges de la Cour; j’ai obtenu le poste.

    En quoi votre adhésion à l’ACBD/CALL vous a-t-elle été utile sur le plan professionnel?

    Outre le fait qu’il s’agit d’une excellente façon d’accroître son expertise grâce à des séances de congrès, à des webinaires et à la RCBD, jouer un rôle actif auprès de l’Association est le moyen le plus intelligent qu’un jeune professionnel puisse utiliser pour faire avancer sa carrière. Après tout, si vous pouvez convaincre un comité de bénévoles de suivre vos directives, ne sera-t-il pas beaucoup plus facile de superviser ou de gérer une équipe qui dépend de vous pour obtenir une bonne évaluation de son rendement à la fin de l’année? Pour nombre de jeunes professionnels, l’adhésion aux comités ou au conseil de direction de l’ACBD/CALL leur permet d’acquérir une expérience pratique (pour la première fois peut‑être) en matière de gestion, de gouvernance, de planification stratégique et de leadership. La meilleure preuve que je puisse offrir en ce qui concerne la valeur de ce type d’activités est la suivante : lorsqu’on a annoncé ma nomination au sein du personnel de la Bibliothèque de l’Assemblée législative de l’Ontario, mes activités auprès d’associations professionnelles ont été mises en évidence dans le communiqué.

    En outre, les communautés de ce type sont beaucoup plus amusantes lorsque vous participez à leurs activités! Je possède maintenant un réseau national d’amis que je rencontre chaque année au congrès, des personnes qui peuvent s’identifier à mon travail, qui sont disposées à partager leurs connaissances et qui m’encouragent à continuer d’apprendre et d’évoluer.

    Y a-t-il un changement relatif à la profession ou à l’industrie qui a présenté un défi pour vous?

    Dans les dernières bibliothèques où j’ai travaillé, j’ai remarqué la baisse de la clientèle en personne. Je sais pourquoi cette clientèle diminue; il est beaucoup plus efficace de transmettre sa demande par courriel ou par message texte, mais je crois qu’il est devenu beaucoup plus difficile, pour le personnel des bibliothèques, d’établir un lien avec les clients qui se présentent. Les étudiants, en particulier, ont besoin d’un endroit où ils ont le sentiment qu’il n’y a « pas de questions idiots », et la bibliothèque peut être un refuge sûr pour eux.

    En revanche, les bibliothécaires judicieux quittent leur bureau et s’intègrent concrètement aux activités de leur organisation! Quelle occasion de vraiment apprendre les trucs, et de pouvoir ajouter de la valeur à chaque tournant, et pas seulement lorsque la mémoire organisationnelle est défaillante et qu’une personne a besoin d’une recherche.  

    Y a-t-il un blogue, un site Web ou un compte Twitter que vous ne pouvez pas négliger de consulter tous les jours?

    www.webaim.org – Je suis actuellement chargée d’aider l’Assemblée à se conformer à la Loi sur l’accessibilité pour les personnes handicapées de l’Ontario (LAPHO), et non seulement ce site est-il une excellente source d’information sur les pratiques exemplaires et les documents éducatifs, mais il comporte également WAVE, un outil de vérification de l’accessibilité du contenu Web.

    Qui est votre professionnel de la bibliothéconomie favori, vivant ou décédé, réel ou fictif?

    Je suppose que Bunny Watson (du film Une femme de tête) est la réponse évidente; toutefois, je dois avouer que j’ai été très influencée par Shaunna Mireau. Shaunna n’a tout simplement peur de rien; elle s’attaque à tous les défis qui lui sont proposés. Elle est intelligente, intelligente, intelligente, et elle recherche les possibilités d’accroître ses connaissances. J’admire également son souci du détail, qui me fait défaut. En outre, elle sait s’amuser; en effet, elle est membre fondatrice du sommet du ukulélé de l’ACBD/CALL.

  • 15 Dec 2015 10:38 AM | Deleted user

    Jenny Thornhill
    Manager, Court Library Services
    Nunavut Court of Justice Law Library

    Tell us a little about your educational background and how you entered the legal information industry.

    I have a BA in Ancient and Medieval History from the University of Calgary and a master’s degree in Medieval Studies from the University of Edinburgh. When I realized that library sciences was my real passion, I attended Dalhousie University and graduated with my MLIS in 2006. I worked in a variety of academic, public and special libraries during my studies and after leaving Dalhousie. I began to work full-time as the Court Librarian for the Nunavut Courts in 2010 and have continued in this position for the last 5 years. I have always had an interest in the law but had decided that being a lawyer was not for me. When I started this job, I realized this was the perfect way for me to combine my interest in the law with my love of libraries. Last year, 2013-2014, I took a year of education leave and completed the Master of Studies of Law degree at the University of Western Ontario in order to further my skills in this field.

    How has being involved in CALL helped you professionally?

    I first became aware of CALL when I started working at the Nunavut Courts as the Court Library has a professional membership in CALL. Through this membership, I learned about and was able to attend the inaugural New Law Librarians Institute sponsored by CALL and hosted at the University of Western Ontario. This was an excellent program which provided me with a lot of skills in the law and for my work. After that, I began attending the annual CALL conferences and developed my network of law librarian colleagues. The skills, information, and networking I have developed through CALL have been invaluable to me in my work.

    What is one thing that’s surprised you about the legal information profession?

    I would say the most surprising thing about the legal information profession is the variety of libraries represented in this area – in most areas you have academic libraries or public libraries, but in the information profession there are courthouse, law firm, academic, and various other types of libraries all working within the same field.

    What are three things on your bucket list?

    Most of my bucket list involves travel and ancient history so I would say 3 things on my bucket most definitely would be to visit Pompeii, the Great Wall of China and the terracotta warriors, and the Pyramids of Giza & the Great Library of Alexandria.

    What’s one piece of advice you’d give to someone looking to break into the legal information industry?

    One of the earliest and best pieces of advice I received when I started as a librarian was to not be afraid to take contracts and build your skills. I would say that is a valuable piece of advice for anyone trying to break into the field. I would also recommend taking course in law to become familiar with the different fields and subtleties of the law.

    Parlez-nous un peu de vos antécédents scolaires et de la manière dont vous vous êtes intégrée au secteur de l’information juridique.

    Je suis titulaire d’un baccalauréat ès arts en histoire ancienne et médiévale de l’Université de Calgary et d’une maîtrise en études médiévales de l’Université d’Édimbourg. Lorsque je me suis rendu compte que la bibliothéconomie était ma vraie passion, je me suis inscrite à l’Université Dalhousie, où j’ai obtenu une maîtrise en bibliothéconomie et en science de l’information en 2006. J’ai travaillé dans une variété de bibliothèques d’établissement d’enseignement, publiques et spécialisées pendant mes études et après avoir quitté l’Université Dalhousie. J’ai occupé un premier poste à plein temps de bibliothécaire de droit aux Tribunaux du Nunavut en 2010 et suis restée à ce poste pendant les cinq dernières années. Je me suis toujours intéressée au droit, mais j’avais décidé que le métier d’avocat ne me convenait pas. Lorsque j’ai commencé à mon poste, j’ai compris qu’il constituait le moyen idéal pour moi de combiner mon intérêt pour de droit et ma passion pour les bibliothèques. L’année dernière en 2013-2014, j’ai pris un an de congé d’études pour suivre un programme de maîtrise en études du droit à l’Université Western en Ontario afin de renforcer mes compétences dans ce domaine.

    En quoi votre adhésion à l’ACBD/CALL vous a-t-elle été utile sur le plan professionnel?

    J’ai découvert l’ACBD à mes débuts aux Tribunaux du Nunavut, car la bibliothèque de la Cour était membre professionnel de l’ACBD. Dans le cadre de cette adhésion, j’ai appris la création de l’Institut pour les nouveaux bibliothécaires de droit et j’ai pu m’inscrire à ce programme parrainé par l’ACBD et dispensé à l’Université Western. Le programme était excellent et m’a permis d’acquérir de nombreuses compétences en droit et pour mon travail. Puis, j’ai commencé à participer aux conférences annuelles de l’ACBD et ai étendu mon réseau de collègues bibliothécaires de droit. Les compétences, l’information et le réseau acquis grâce à l’ACBD m’ont précieusement aidée dans mon travail.

    Quel est l’aspect de la profession de l’information juridique qui vous a étonnée?

    Je dirais que l’aspect le plus surprenant dans cette profession est la variété des bibliothèques représentées dans ce secteur – dans la plupart des secteurs, vous avez des bibliothèques universitaires ou des bibliothèques publiques, mais dans la profession de l’information juridique, vous avez les tribunaux, les sociétés d’avocats, les établissements d’enseignement et une variété d’autres types de bibliothèques qui travaillent toutes dans le même secteur.

    Indiquez trois choses qui figurent dans votre liste du cœur?

    Ma liste du cœur a pour thèmes principaux les voyages et l’histoire ancienne; je citerais donc trois éléments qui me tiennent vraiment à cœur : visiter Pompéi, voir la Grande Muraille de Chine et les soldats de terre cuite et enfin me rendre aux pyramides de Gizeh et à la grande bibliothèque d’Alexandrie.

    Quel conseil offririez-vous à une personne qui cherche à percer dans le secteur de l’information juridique?

    L’un des premiers et meilleurs conseils que j’ai reçus quand j’ai débuté dans la profession a été de ne pas avoir peur de signer des contrats et de renforcer mes compétences. Je dirais que ce conseil est précieux pour toute personne qui souhaite percer dans le secteur de l’information juridique. Je recommanderais également de suivre des cours de droit pour mieux connaître les différents domaines et les subtilités du droit.

  • 20 Nov 2015 1:10 PM | Deleted user


    Micheal McAlpine
    Research Officer & Librarian
    Siskinds LLP

    Tell us a little about your educational background and how you entered the legal information industry.

    I had a long and winding road to the legal industry. After a false start studying History, I became an Agriculture student at the University of Guelph. Then, after completing a two year diploma, I started working on a dairy farm. While doing that I went to school part-time and earned a degree in Philosophy.

    After graduating, I spent 3 years travelling and teaching English in Korea and Taiwan. While pondering my future, I learned of the MLIS program at Western and the courses appealed to me, so I applied. I’ve always been interested in how people interact with information and build knowledge. The opportunity to study information in a formal setting was very appealing to me.

    While in school at Western, a colleague told me she was leaving her position at a law firm in order to take a full-time co-op job. I applied and was accepted. Initially, the job was part-time, but within a year, I was offered a full-time job upon graduation. That was in 2007 and I’ve been at Siskinds LLP ever since.

    How has being involved in CALL helped you professionally?

    CALL has been great for building connections in the library world. As a solo librarian, I don’t have a lot of opportunities to meet others in the profession. CALL has put me in touch with some great information professionals who have been an outstanding source of advice and encouragement over the years.

    I’ve also benefited from the conferences and webinars. I always take away a practical tip that has helped me improve my information services at the law firm.

    Who is your favourite library professional—living or dead, real or fictional?

    A lot of people have influenced me over the course of my career. Elizabeth Marshall (Director of the C.B. ‘Bud’ Johnston Library at Western) hired me for my first job as an information professional when she was the Manager of the Graduate Resource Centre at FIMS. Elizabeth taught me a lot about reference service and how it was essential that we take an attitude of partnership with our users when it comes to seeking information and making collection decisions.

    On the fictional side of things, I love Connie Sacks from the George Smiley books by John le Carré.

    What is one thing people would be surprised to know about you?

    I recently took apart an old 10 speed bike, re-built it as a single speed and added some cool red tires and grip tape. I ride to work nearly every day and during the warmer months my family is pretty much car free in our day-to-day living.

    What’s one piece of advice you’d give to someone looking to break into the legal information industry?

    Be open to new opportunities. I had no plans to work in a law firm, but by taking advantage of some open doors, I’ve built what has been a very enjoyable career. Along the way, I’ve gained skills and experience that I never anticipated.

    Parlez-nous un peu de vos antécédents scolaires et de la manière dont vous vous êtes intégré au secteur de l’information juridique.

    Mon parcours avant de me joindre au secteur juridique a été long et ardu. Après avoir essayé d’étudier en histoire, je suis devenu étudiant en agriculture à l’Université de Guelph, Puis après avoir terminé un diplôme de deux ans, j’ai commencé à travailler sur une ferme laitière. Pendant ce temps, je suivais des cours à temps partiel et j’ai obtenu un diplôme en philosophie.

    Après avoir obtenu mon diplôme, j’ai voyagé et enseigné l’anglais en Corée et à Taïwan pendant trois ans. Alors que je planifiais mon avenir, j’ai appris l’existence de la maîtrise en bibliothéconomie et en sciences de l’information à l’Université Western et, comme les cours piquaient mon intérêt, j’ai présenté une demande. Je me suis toujours intéressé à la manière dont les gens interagissent avec l’information et acquièrent des connaissances. L’occasion d’étudier l’information dans un cadre formel m’intéressait particulièrement.

    Pendant mes études à l’Université Western, une collègue m’a dit qu’elle avait démissionné de son poste dans un cabinet d’avocats afin d’accepter un poste à plein temps dans le cadre d’un programme d’alternance travail-études. Au début, l’emploi était à temps partiel, mais en moins d’un an, on m’a offert un poste à temps plein après l’obtention de mon diplôme. Cela s’est passé en 2007 et je travaille chez Siskinds LLP depuis ce temps.

    En quoi votre adhésion à l’ACBD/CALL vous a-t-elle été utile sur le plan professionnel?

    L’ACBD joue un rôle important pour établir des relations dans le domaine de la bibliothéconomie. En tant que seul bibliothécaire, je n’ai pas beaucoup d’occasions pour rencontrer d’autres bibliothécaires. L’ACBD m’a fait connaître des professionnels de l’information qui ont été pour moi une excellente source de conseils et d’encouragement au fil des ans.

    J’ai aussi profité des conférences et des webinaires. J’en retire toujours un conseil pratique qui me permet d’améliorer les services d’information que j’offre au cabinet d’avocats.

    Qui est votre professionnel de la bibliothéconomie favori, vivant ou décédé, réel ou fictif?

    Durant ma carrière, beaucoup de gens ont eu une influence sur moi. Elizabeth Marshall (directrice de la bibliothèque C.B. ‘Bud’ Johnston à l’Université Western) m’a offert mon premier emploi comme professionnel de l’information alors qu’elle était gestionnaire du centre de ressources pour les diplômés de la FIMS. Elizabeth m’a beaucoup appris sur le service de référence et m’a enseigné à quel point il est essentiel d’adopter une attitude de partenariat avec les utilisateurs pour la recherche d’informations et la prise de décisions concernant les collections.

    En ce qui concerne les personnages fictifs, j’aime bien Connie Sachs, un personnage de la série de livres sur George Smiley de John le Carré.

    Quelle est la chose que les gens seraient étonnés d’apprendre à votre sujet?

    J’ai récemment démonté une vieille bicyclette dix vitesses, l’ai remonté comme bicyclette à une seule vitesse et ajouté des pneus rouges attrayants et des bandes antidérapantes. Je l’utilise tous les jours pour aller travailler et durant les mois d’été, ma famille n’utilise presque pas l’auto pour ses déplacements quotidiens.

    Quel conseil offririez-vous à une personne qui cherche à percer dans le secteur de l’information juridique?

    Soyez ouverts à de nouvelles occasions. Je ne pensais pas travailler pour un cabinet d’avocats, mais en tirant parti d’occasions offertes, je me suis taillé une carrière très agréable. Chemin faisant, j’ai acquis des aptitudes et de l’expérience auxquelles je n’avais jamais pensé.

  • 30 Oct 2015 1:12 PM | Michel-Adrien Sheppard (Administrator)

    Le texte français suit.

    The Canadian Library Association (CLA) has been meeting in recent months with representatives from other regional and sectoral library associations to discuss the CLA's dissolution and its replacement by a new national structure that would reinforce collaboration amongst the associations, and leverage their combined membership to create a stronger, unified national lobbying voice. 

    The working group of association stakeholders has written  a proposal entitled Toward a Federation of Library Associations in Canada: Strengthening the national voice for Canadian libraries:

    "This paper discusses the current societal and library sector contexts for CLA as a national association. It describes the discussions with and work undertaken by library sector leaders to date to contemplate a new form for Canada’s national library advocacy voice and presents a proposal for the evolution of CLA into a national federation of library associations called Canadian Federation of Library Associations / Fédération canadienne des associations de bibliothèques (CFLA/FCAB). This evolution would occur through a formal dissolution of CLA and the creation of the new national federation described in this proposal."

    Over the upcoming weeks, the various participating associations will be sending out member surveys to solicit input to determine how to push forward.  

    The  CLA Executive launched a new blog called Future CLA to disseminate information about the ongoing discussions.

    [Michel-Adrien Sheppard]

    Depuis plusieurs mois, l'Association canadienne des bibliothèques (ACB) a tenu une série de rencontres avec des représentants d'autres associations de bibliothèques provinciales et sectorielles afin de discuter de la dissolution possible de l'ACB et de son remplacement éventuel par une nouvelle structure nationale qui aurait comme but de renforcer la collaboration entre les différentes associations et de créer une voix nationale unifiée qui englobe un plus grand nombre de collègues partout au pays.

    Un groupe de travail constitué de représentants de différentes associations a récemment rédigé une proposition intitulée Vers une fédération des associations de bibliothèques du Canada : Renforcer la voix nationale des bibliothèques canadiennes :

    "Le présent document examine l'environnement social et le contexte du secteur des bibliothèques actuelles pour l'ACB à titre d'association nationale. Il contient une description des discussions tenues et des travaux entrepris à ce jour par les dirigeants du secteur des bibliothèques afin de trouver un nouveau modèle pour la voix nationale des bibliothèques canadiennes et on y présente une proposition pour la transformation de l'ACB en une fédération nationale des associations de bibliothèques qui s'appellerait la Fédération canadiennes des associations de bibliothèques / Canadian Federation of Library Associations (FCAB / CFLA). Cette transformation s'effectuerait par une dissolution officielle de l'ACB et la création de la nouvelle fédération nationale décrite dans la présente proposition."

    Dans les semaines à venir, les différentes associations participantes vont sonder leurs membres afin de déterminer les prochaines étapes.

    En attendant, la direction de l'ACB a créé le blogue Future CLA pour diffuser les informations relatives aux discussions en cours. 

    [Michel-Adrien Sheppard] 

  • 16 Oct 2015 2:21 PM | Deleted user


    Eve Leung
    Business Development Researcher
    McMillan LLP

    Tell us a little about your educational background and how you entered the legal information industry.

    I completed my undergraduate studies at Carleton University where I majored in law and minored in psychology. In my last year at Carleton, my legal research professor suggested I look into getting my library degree. I really loved the idea of having an end result that combined my undergraduate studies with a specialty. I completed my Master of Information Studies degree at the University of Toronto’s Faculty of Information with the ultimate goal of becoming a legal researcher.

    How has being involved in CALL helped you professionally?

    I became involved with CALL early on as a member, a mentee and a book review contributor. In 2011, I joined the Webinar Committee and am currently the Chair of that committee. I’m also the advertising editor for the Canadian Law Library Review as well as a member of the External Partners Committee. CALL is a great network in which to be connected. I’ve crossed paths with many people I may otherwise not have had the opportunity to work with and learn from. Chairing a Committee and working on projects has allowed me to build on my management and organizational skills.  

    Where do you see our industry and/or profession in 10 years?

    In my opinion, the industry and profession have always been reacting to and planning for changes. As the legal industry undergoes large changes in Canada, we have opportunities to fill in the gaps and develop new areas of service while losing some too. There will be challenges in determining where we should focus our efforts in providing the most value-added services to our clients. To cope with doing more with less, we will have to build strong relationships with other departments in our organizations to strategically leverage our resources. We’ll also be facing greater competition with more outsourcing options, other professionals expanding their expertise, and even our own clients.

    What’s your greatest professional success?

    I’m not sure I have one yet!

    What is one thing people would be surprised to know about you?

    I’m a bit shy.

    Parlez-nous un peu de vos antécédents scolaires et de la manière dont vous vous êtes intégrée au secteur de l’information juridique.

    J’ai fait mes études de premier cycle à l’Université Carleton, avec une majeure en droit et une mineure en psychologie. Pendant ma dernière année à Carleton, mon professeur de recherche juridique m’a suggéré d’envisager d’obtenir un diplôme de bibliothéconomie. J’aimais vraiment l’idée d’atteindre un résultat final qui alliait mes études de premier cycle et une spécialité. J’ai obtenu une maîtrise en sciences de l’information à la faculté de l’information de l’Université de Toronto, dans l’optique de devenir recherchiste juridique.

    En quoi votre adhésion à l’ACBD/CALL vous a-t-elle été utile sur le plan professionnel?

    Je me suis impliquée rapidement auprès de l’ACBD/CALL en tant que membre, mentorée et collaboratrice pour les comptes rendus de livres. En 2011, je me suis jointe au comité des webinaires, dont je suis actuellement la présidente. Je suis également chef de la rédaction publicitaire de la Revue canadienne des bibliothèques de droit et membre du comité des partenaires externes. L’ACBD/CALL est un excellent réseau auquel nous pouvons nous joindre. J’ai rencontré de nombreuses personnes avec qui je n’aurais peut-être pas eu l’occasion de travailler et auprès desquelles je n’aurais pas pu apprendre autrement. Le fait de présider un comité et de collaborer à des projets m’a permis de développer mes compétences en matière de gestion et d’organisation.  

    Où voyez-vous notre industrie ou notre profession dans dix ans?

    À mon avis, l’industrie et la profession ont toujours réagi aux changements et planifié en fonction de ceux-ci. Comme l’industrie juridique subit des changements importants au Canada, nous avons la possibilité de combler les lacunes et de développer de nouveaux secteurs de services, tout en en perdant quelques-uns. Nous devrons relever certains défis pour déterminer les secteurs dans lesquels nous devrions concentrer nos efforts en offrant les services représentant la plus grande valeur ajoutée à nos clients. Pour réussir à « faire plus avec moins », nous devrons établir des relations plus solides avec d’autres services au sein de nos organisations afin d’exploiter nos ressources d’une manière stratégique. En outre, nous ferons face à une concurrence plus forte et, notamment, les options de sous-traitance seront plus nombreuses et d’autres professionnels accroîtront leur expertise, même nos propres clients.

    Quelle est votre plus grande réussite professionnelle?

    Je ne suis pas sûre d’avoir atteint la réussite professionnelle!

    Quelle est la chose que les gens seraient étonnés d’apprendre à votre sujet?

    Je suis un peu timide.

  • 01 Oct 2015 1:51 PM | Michel-Adrien Sheppard (Administrator)

    The Canadian Library Association (CLA) has launched the website votelibraries.ca.

    The site outlines the Canadian library community's main priorities and concerns for the upcoming October 19 federal elections.

    They are:

    • unstable funding for Library and Archives Canada and cuts to federal government libraries
    • the long form census
    • copyright

    The site also offers summaries of the positions of the major parties running in the elections relating to issues such as rural broadband service, social infrastructure, the census, etc.

    [Michel-Adrien Sheppard]

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